Livre 1, Fable 19LA CHIENNE QUI MET BAS | ![]() Liber I, Fabula XIXCANIS PARTURIENS |
1 Les caresses d'un méchant cachent quelque piège : 2 la fable suivante nous avertit de les éviter. | 1 Habent insidias hominishomines blanditiae mali : 2 quas ut vitemus versus subjecti monent. |
3 Une Chienne, près de mettre bas, demanda à une de ses compagnes 4 de lui prêter sa cabane pour y faire ses petits ; 5 elle l'obtint facilement. Puis, l'autre réclamant son asile, 6 notre Chienne la supplia de lui accorder un court délai, 7 jusqu'à ce qu'elle pût emmener ses petits, devenus plus forts. 8 Ce temps encore écoulé, l'autre redemande son lit 9 avec plus d'instance. « Si tu peux, lui dit-elle, tenir tête à moi et à toute ma bande, 10 je te céderai la place. » | 3 Canis parturiens cum rogasset alteram 4 ut fetum in ejus tugurio deponeret, 5 facile impetravit : deinde reposcenti locum 6 preces admovitadmonuit, tempus exorans breve, 7 dum firmiores catulos posset ducere. 8 Hoc quoque consumto flagitare validius 9 cubile coepit. Illa : « Si mihi et turbaeturbe meae 10 par, [p.13] inquit, esse potueris, cedam loco. » |
Ĉu la granda enfermado estis necesa? - Le grand enfermement était-il
nécessaire ?
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Kiam desegniĝis ia tutmonda modelo de administrado de la tutmonda epidemio,
miksante kun pli aŭ malpli da severeco la fermon de landlimoj, lernejoj,
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